30 décembre 2013
Manuel Valls pète les plombs !
Faute de grives on mange des merles ! A défaut de réduire la truanderie, Manuel "Gaz" Valls entreprend de faire taire un humoriste qui ne donne pas dans la reptation politiquement correcte. Piteuse fin d'année pour le Tartarin de la place Beauvau dont l'incompétence crasse en matière de lutte contre la criminalité n'est plus à démontrer.
11:16 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, liberté, liberté d'expresion, humour, manuel valls, répression
28 août 2013
Manuel "Gaz" Valls serait-il aussi un infâme pour François Hollande ?
Une fois n'est pas coutume, François Hollande vient de lancer une petite phrase qui devrait faire l'unanimité dans les familles citoyennes. En effet, Pépère est un instant sorti de sa torpeur gastro-hépatique habituelle pour énoncer sentencieusement dans le poste qu'il fallait "...punir ceux qui ont pris la décision infâme de gazer des innocents "
Qui ne lui donnerait pas raison ? On s'attend donc à une réaction administrative et pénale en avalanche à l'encontre des infâmes robocopisés qui en mars dernier ont obéi aux ordres d'une infâme hierarchie subornée par l'infâme Manuel Valls et qui ont donné joyeusement dans le gazage de femmes et d'enfants dont le seul tort était de marcher pacifiquement en clamant leur attachement à la famille naturelle et leur opposition à l'institution d'une dégradante parodie du mariage. Des infâmes, des salopards donc, des trouillards fonctionnarisés ou des bornés de la casquettes au front bas qui ont fait fi de la théorie des "baïonnettes intelligentes" selon laquelle ils pouvaient - ils devaient - refuser un ordre inique éructé par un ministre idéologiquement dépravé et qui se sont acharnés sur le gibier qu'on leur désignait d'autant plus facilement qu'il s'agissait d'inermes, de faibles, de sans défense et qu'ils risquaient infiniment moins que dans les "quartiers" où d'ailleurs on ne les envoie plus.
Quant à Manuel Gaz Valls lui-même, on devrait s'attendre en toute logique à ce qu'il soit démis de ses fonctions, arrêté, cloué au pilori médiatique, jugé et condamné dans les délais les plus brefs pour son "infâmie".
Sauf évidemment à penser qu'il est des gazés éminemment victimes et des gazés qui assurément méritent de l'être...comme les têtes blondes des familles françaises par exemple. Comme aussi les soldats du président Assad et le peuple syrien qui le soutient car - en dépit des argument indéniables concoctés par les "services" d'Obama - et dont on sait qu'ils sont passés maîtres dans la désinformation, la manipulation et la subversion - et à ce jour, il n'y a qu'une escouade d'islamistes syriens membres du "Front al Nosra" et ennemis jurés d'Assad qui aient été alpagués à la frontière turque en possession d'armes lourdes et du gaz sarin qui va avec.
Dans le cas de la guerre subversive en Syrie comme dans celui de la résistance - à ce jour pacifique - aux dérives mortifères des écolos-socialistes en France, et toutes proportions gardées même si l'on sait bien que la guerre civile s'annonce chez nous aussi, où sont les innocents et où sont les infâmes ?
15:17 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, syrie, manuel valls, enfants, représsion, gaz
03 août 2013
Manuel "Gaz" Valls en route pour les présidentielles ?
Alors il paraît que Manuel Valls battrait Nicolas Sarkozy s'il lui était opposé au 2e tour des présidentielles de 2017 ! Un petit coup de pub au gandin par la rédaction de "Marianne" qui a payé le sondage à un institut qui, comme tous ses homologues, cherche avant tout à ne pas déplaire à un client. Assurément un beau coup de pied de l'âne à François Hollande que cette "politique fiction" révélatrice du désarroi qui gagne le PS et ses satellites à l'approche d'échéances électorales qui devraient enregistrer un rejet franc et massif de Pépère et de sa politique ou plutôt de son absence de politique au sens noble du terme. Une perspective de solide rossée électorale qui certes affole les sinécurisés écolo-socialistes mais dont rien ne dit qu'elle déboucherait sur le recours au barcelonnais naturalisé comme sauveur de la ripoublique.
Enfant chéri des médias du Système suite à l'affaire merdique, le gommeux commence pourtant à avoir les chevilles qui enflent limite éléphantiasis et il risque de tomber de fort haut quand il se verra confronté au bilan de son action comme responsable de la sécurité publique. En attendant le dissolvant ministériel n'en finit pas de pérorer sur sa volonté d'éradiquer toute opposition nationale, identitaire et solidariste - la seule réelle opposition d'ailleurs - dans des éructations de plus en plus agressives qui laissent accroire qu'il pense avec ses intestins faute de petites cellules grises. D'où une rhétorique de coprophile et un verbiage haineux style flatulence qui lui vaudrait une réplique inspirée d'un bout rimé de Victor Hugo à l'encontre d'un écrivain qu'il n'aimait guère et qui d'ailleurs le lui rendait bien : " Quand on te qualifie et qu'on t'appelle cuistre / Istre est un ornement " Valls présidentiable ? On n'a pas fini de rigoler !
17:44 Publié dans France | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, manuel valls, criminalité, immigration, lobbies, résistance
16 juin 2013
Manuel Valls : un dîner de çon à Marseille !
Décidément les ministres de la Ripoublique ne brillent pas par leur courage ! Après la Taubira qui se défile piteusement avant un débat programmé en direct sur France2 avec un représentant de l'Institut pour la Justice qui entendait démontrer l'échec et la dangerosité de sa politique de laxisme judiciaire, c'est son compère Manuel Valls qui n'ose pas se risquer dans un "quartier" de Marseille.
Le gandin devait participer à un tournage de "Viens dîner dans ma cité", un magazine "sociétal" de la redevancielle France4 - programmé demain 17 juin - concocté par le duo Djamel Bensalah/Ali Rebeihi et tout acquis aux délices de la France plurielle. Le gazier devait être l'invité "surprise" d'une famille représentative de la population de la Coyolle dans les sympathiques et tropicaux quartiers sud de Marseille. Et puis changement de scénario à la demande du héros du Trocadéro et des Champs Elysées ! On ne sait pas si c'est la perspective -insupportable pour un petit bobo socialiste- de devoir partager la semoule, les pois chiches et le mouton dans une ambiance olfactive de fumet de capriné ou plutôt la quasi certitude d'être très vite entouré d'une foultitude de "jeunes" débordant d'enthousiasme à l'idée de se faire un ministre et sa cohorte de keufs inconsidérément engagés en zone interdite, toujours est-il que le Tartarin a préféré écouter les conseils angoissés de la Préfecture de Marseille et donner sa représentation dans un quartier "moins populaire" mais beaucoup plus facile à sécuriser. L'enregistrement s'est donc très boboesquement déroulé au "Ventre de l'Architecte", un restaurant situé dans un immeuble huppé de la Cité Radieuse : carpaccio de saint-jacques et loup grillé pour le pétochard petit précieux et quelques figures soigneusement choisies du Massalia revisité façon mosaïque...un dîner de cons en quelque sorte ne manqueront pas de sussurer des mal pensants.
En tous les cas, le télespectateur gaulois ne perdra rien à ne pas suivre ce qui n'est qu'un bourrage de crâne emblèmatique des productions de cette télévision publique mondialisante dont les grecs ont la chance immense d'être pour le moment débarrassés.
14:12 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, médias, télévision, manuel valls, immigration, quartiers
28 mai 2013
Manif'pour tous : les seules racailles étaient des flics infiltrés !
Dimanche il n'y a eu qu'une seule violence: celle des larbins du Système ! par Roland Hélie Directeur de Synthèse Nationale
Depuis lundi la presse aux ordres ne cesse de nous rabâcher que, dimanche soir, des scènes de violence ont ponctué la grande manifestation populaire contre le gouvernement et contre ses lois antifamiliales. Il est temps de remettre les pendules à l'heure.
Dimanche soir, afin de satisfaire les fantasmes de celui que l'histoire retiendra sous le nom de Manuel Gaz, les miliciens du Système ont dégagé, avec une violence inouïe, les milliers de jeunes patriotes qui avaient la suffisance de se livrer à des actes inqualifiables pour les tenants du pouvoir, à savoir : chanter la Marseillaise et brandir des drapeaux tricolores. Ce sont en effet les flics qui se sont livrés eux-mêmes, comme les films qui commencent à circuler sur la toile l'attestent (cliquez ici), à des provocations sans nom afin de légitimer la violence de la répression. Sans ces provocs, il est clair que la soirée se serait terminée, comme lors de chacune des précédentes manifs, dans le calme et la bonne humeur.
Combien de voitures incendiées ? Combien de vitrines brisées ? Aucune ! Dimanche soir, il n’y avait, à la grande déception des "autorités", ni casseurs, ni racailles parmi les manifestants présents. Il y avait là juste une jeunesse qui est en train de prendre conscience que le Système mondialiste l'exploite et que le combat contre la loi Taubira n’est qu’une étape, une jeunesse qui commence à crier sa révolte. Cette prise de conscience, à juste titre, Hollande, Valls le gazeur, Taubira l'anti-France et leur clique en ont peur. Ils savent jusqu'où cela peut mener. Cela peut en effet mener à une véritable révolution. Une révolution nationale et conservatrice qui remettrait en cause les pseudo valeurs mondialistes et soixante-huitardes auxquelles ils sont tant attachés et qui, à petit feu, tuent notre nation et anéantissent notre identité
Oui, dimanche la seule provocation, c'était la présence surdimensionnée des forces de police qui ont tout fait pour que la manif dégénère. Il y a des précédants. Rappelez-vous, dimanche 12 mai dernier, lors de la manifestation contre le mondialisme organisée par les forces nationalistes devant la statue de Ste Jeanne d'Arc, les flics, avec la collaboration de leurs auxiliaires les Femen, ont aussi tenté une provoc similaire afin de nous discréditer. Sans l'intervention opportune du Service d'ordre des JNR (cliquez là), Manuel Gaz aurait alors plastronné en dénonçant les "violences d'extrême droite"... Manque de chance pour lui, le 12 mai, l'"extrême droite" a été plus maline et plus réactive que prévu et les flics n'ont pu embarquer... qu'un seul manifestant.
En fait, dimanche soir, afin de ne pas désavouer le pouvoir moribond qu’ils sont sensés défendre, pouvoir qui avait tant claironné auprès de qui voulait l'entendre que cette manif, qui a rassemblé plus d'un million de Français dans une ambiance bon enfant, devait inévitablement déborder à un moment ou à un autre, les flics se sont comportés en véritables larbins d’un Système qui les méprise tout autant que les manifestants. Alors, oui, arrêtons les délires et remettons les pendules à l’heure
12:02 Publié dans Faits et gestes...chiffres et paroles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, identité, famille, droite nationale, manuel valls, résistance